Le Griffin Magnificum est sans doute un spectacle impressionnant à voir. Les anciens mythes représentent le Griffon de bien de nombreuses façons à travers les âges. Mais ce qui n’a jamais été disputé sont bien sa magnificence et sa nature mystérieuse. Avec le corps d’un aigle greffé sur l’arrière d’un lion, c’est comme si ces deux créatures d’une manière ou d’une autre avaient fusionnées en un prédateur supérieur terrestre et aérien.

Le premier réflexe de chacun serait peut-être d’approcher la créature et de s’émerveiller devant sa beauté, mais cela serait une bien mauvaise décision. La portée de ses attaques fait de lui un des prédateurs les plus polyvalents dont j’ai été témoin. Si sa seule et unique présence n’est pas suffisante pour intimider les chasseurs potentiels, il a la capacité de piquer vers le sol avec une telle force et rapidité qu’il inflige des dommages a quiconque serait assez malchanceux de se trouver sur sa trajectoire, et se donner de l’élan pour s’élever rapidement à nouveau.

 L’idée de pacifier cette créature n’est pas une chose à prendre à la légère. Sa nature profondément indépendante et son désintérêt total pour les interactions avec le genre humain combiné à son pouvoir et sa force font de l’apprivoisement du Griffon un véritable défi. Cependant il y eu des survivants assez intrépides pour tenter et réussir cet exploit miraculeux. Une fois apprivoisé, chevaucher un Griffon avec un membre de sa tribu, se déplacer à haute vitesse dans les airs, est une belle récompense en soi.