De près, le Tropeognathus mesembrinus est facilement reconnaissable par les crêtes carénées sur son museau, mais avec des envergures allant jusqu’à vingt-sept pieds, vous êtes sûr de le repérer avant.

Ces grandes ailes sont non seulement idéales pour capter les courants d’air au-dessus de ses terrains de chasse océaniques, mais elles permettent également au Tropeognathus de s’échapper d’autres créatures volantes en volant derrière elles. Bien qu’il ne soit pas le volant le plus rapide des îles, lorsqu’il est combiné avec sa remarquable endurance, cela rend le Tropeognathus bien adapté pour le vol longue distance.

Parce qu’il mise tout sur ces ailes, le Tropeognathus est pris au piège par ceux qui chevauchent un autre volant. J’ai remarqué que les membres des tribus les plus intelligents utilisaient des bolas de chaîne pour les capturer en vol.


Une fois apprivoisé, le Tropeognathus s’est révélé très utile aux habitants des îles au-delà du simple transport. Par exemple, son bec denté peut broyer de nombreux biens communs à leurs composants de base, ce qui est un excellent moyen de recycler des objets et des équipements ! Tant que vous avez un chiffon à portée de main pour essuyer son bec dentelé …

Cette morsure est assez suffisante pour casser l’armure et la broyer à travers le temps, et le Tropeognathus peut emporter la flore et la faune avec une rafale de ses ailes. Cependant, c’est au combat dans le ciel que cette créature brille vraiment. Et avec les bons outils, certains survivants ont réussi à les équiper d’un canon métallique monté sur une selle et d’un moteur à réaction pour une létalité maximale.

Croyez-moi, vous n’avez pas vécu jusqu’à ce que vous ayez monté un ptérosaure à réaction dans un combat aérien. Montez en selle et voyez par vous-même – vous pouvez être mon ailier à tout moment !