On a toujours émis l’hypothèse qu’un membre du phylum de Tardigrada serait la dernière espèce sur Terre en cas d’apocalypse globale. Par conséquent, à certains égards, l’existence du Mopsechiniscus fluitobesus est tout à fait attendue. Sa taille et son mode de déplacement, cependant ? Beaucoup moins.

Le Mopsechiniscus est lent et inefficace dans un combat, donc pour survivre, il a tendance à choisir de fuir. Premièrement, il se gonfle comme un ballon, ralentissant brièvement et gagnant en durabilité. Ensuite, il se lance dans les airs en expulsant les gaz à travers une série de sphincters situés dans son ventre, qu’il utilise également pour ralentir sa descente.

Oui, c’est aussi… inhabituel que cela puisse paraître, mais c’est comme cela que le Mopsechiniscus tire le meilleur parti de sa nature gonflable. En plus de sauter, il peut utiliser ses gaz stockés pour repousser les agresseurs, ou même flotter sur l’eau.

Bien que pauvre  au combat, le Mopsechiniscus est une fantastique bête. Les poils sur le dos permettent à un seul pilote de le diriger sans selle et transporte une quantité incroyable de poids pour sa taille.